La vedette lance torpille Gil : jouet ancien à restaurer dernière mise à jour le 10 janvier 2007 - 65 photos - 1 schéma
1 Préparation et peinture - 2 Motorisation et radiocommande - 3 Tests de force, essais - 4 Refroidissement du moteur - 5 Finitions et accastillage - Ce beau modèle réduit est un canot en tôle des années 1960 - une vedette lance-torpilles U-25 de marque GIL - que nous allons repeindre et motoriser:
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- 1/ Préparation: décapage, soudures, peinture de la coque
Le tableau arrière a été enlevé pour un nettoyage complet à l'intérieur de la coque, avant d'être soudé à l'étain. Cette opération a permis également de couper le tube de gouvernail afin de pouvoir fixer un levier sur son axe (installation du servomoteur). |
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La coque entièrement décapée
L'hélice bipale, la ligne d'arbre et le gros moteur 9 V d'origine
La chaise d'hélice
3/ Tests de force dans l'aquarium
Aujourd'hui nous avons cherché à évaluer le moteur et les hélices en fonction de leur force de traction. Le mécanisme était simple, il y avait un fil accroché à l'arrière du bateau qui allait horizontalement à une poulie puis verticalement à une autre et enfin descendait jusqu'aux poids qu'on attachait par un crochet au bout de la ficelle. Pour faire avancer le bateau on branchait le moteur sur la batterie. Carine
Mise en place du dispositif avec la charge de 500 g
300 grammes: 400 g 400 g avec l'hélice tripale
- Nous avons testé dans l'aquarium la force de traction de la vedette. A l'aide de poulies et d'un fil nous avons mis des poids de 100 g, 200 g, 300 g, 400 g et 500 g. Nous avons constaté que pour 100 g, 200 g et 300 g la vedette pouvait les soulever facilement. Pour 400 g l'impulsion de l'hélice faisait monter le poids mais elle n'avait pas assez de force pour le garder soulevé.
- Nous avons testé trois hélices, dont deux bipales et une tripale. C'était difficile de voir celle qui avait le plus de force. Benjamin
- La méthode des poids n'est pas assez précise, il faut imaginer un autre dispositif plus sensible aux variations de force.
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Voir les autres résumés à la page "propulsion par hélice - test d'un modèle réduit" Test de force simplifié avec le dynamomètre: force entre 5 et 6 newtons (équivalent de 500 à 600 g):
Les premiers essais dans le port de La Ciotat
- 4/ Circuit de refroidissement du moteur
Chemise en aluminium pour le refroidissement du moteur par circulation d'eau:
La prise d'eau est aménagée dans l'arbre du gouvernail:
En tournant, l'hélice poussera l'eau dans le circuit:Levier de direction usiné dans une pièce d'aluminium. Il comporte des trous pour conduire l'eau: Schéma: Usinage d'un coussinet en bronze pour l'arbre d'hélice Le coussinet est enfoncé sur le tube d'étambot: - 5/ Peinture définitive et ligne de flottaison:
- Accastillage:
- Toutes les pièces d'accastillage sont en laiton: hublots, manches à air, chandeliers, taquets d'amarrage, mains-courantes:
Le bastingage et les taquets d'amarrage sur la partie arrière: Support du servo de direction (mini-servo 9 grammes). On voit aussi le nouvel arbre d'hélice en inox de 3 mm de diamètre: La nouvelle hélice en aluminium est nettement plus réaliste: Le moteur sur son support en aluminium. Finalement un simple tube en serpentin servira au refroidissement: Voir les deux autres canots Gil: canot militaire et canot de plaisance Retour à l'index